Qu’il s’agisse d’un accident de voiture, de moto ou même sur la voie publique, les victimes se retourneront vers leur assurance pour obtenir réparation. Or, dans la plupart des cas, elles constateront que, de façon quasi systématique, ces organismes font preuve d’une certaine résistance à accorder une juste indemnisation. Pour que le préjudice soit correctement « réparé », la victime d’accident de la route n’aura alors d’autres choix que de s’adjoindre les services d’un avocat qui lui permettra de bénéficier d’une indemnisation du dommage corporel qu’elle a subi.
Quelles seront ses qualifications, ses spécialités ?
Bien sûr, il faudra veiller à ce que l’avocat soit formé en matière de Droit Médical et qu’il ait obtenu une spécialisation en Droit du Dommage corporel. Un diplôme d’Évaluation des Traumatisés Crâniens peut être grandement utile dans certains cas, visitez le site du cabinet Bernardini, pour mieux comprendre l’importance de ses spécificités et les conséquences d’un préjudice corporel, http://cabinet-bernardini.fr/. Maître Bernardini, lui-même titulaire de chacun de ces diplômes, intervenant également dans les cas d’erreur médicale, insiste aussi sur la pugnacité et l’indépendance de l’avocat. Selon lui, celle-ci ne peut être effective que si ce dernier est formé spécifiquement à ce genre de cas et s’il bénéficie d’une expérience solide lui permettant de tenir tête de façon éclairée à une partie adverse tout aussi offensive.
L’avocat n’intervient pas seul
La victime aura à subir différentes expertises médicales en présence des médecins experts mandatés par l’assurance. Elle devra donc également choisir un médecin qui sera habilité à défendre son cas lors de ces rencontres. Ce dernier sera évidemment indépendant et pourra confronter son point de vue à celui de la partie adverse.